Il est possible de passer un contrat sur la tête auprès de l'interlocuteur adéquat (il y en a un par ville, en général près de la prison ou de la garnison). On peut le choisir anonyme ou non. La somme est perçue par la personne qui exécute le contrat (id est, la personne qui tue celui qui avait ledit contrat sur la tête)
Un membre du gouvernement (ou est-ce uniquement le gouverneur ?) peut passer des contrats de nation avec l'argent des caisses de l'Etat (qui peut aussi être utilisé pour payer des repas diplomatiques et faire baisser les tensions).
La cour de justice peut demander au gouvernement des sanctions contre ceux qui refuseraient de s'aquitter de leurs amendes, comme le bannissement, mais aussi un contrat de nation. Une réflexion est actuellement menée en France sur la peine de mort, et la justification morale de ces contrats.